02.2021
Parallèle glane des images dans le catalogue de quelque 2 000 estampes de URDLA.
Parallèle glane des images dans le catalogue de quelque 2 000 estampes de URDLA.
À URDLA, elle interroge la fabrique singulière d’un nous sur le fil de la parade amoureuse à partir notamment de la figure érigée par le cinéma hollywoodien de Cary Grant.
Ouverture le samedi 12 septembre de 14h à 18h30 ; exposition jusqu’au 31 octobre 2020.
À l’occasion des 10 ans de Documents d’artistes Auvergne-Rhône-Alpes, URDLA accueille Guillaume Perez pour un accrochage dans la lithothèque.
Parallèle glane des images dans le catalogue de quelque 2 000 estampes de URDLA.
Parallèle glane des images dans le catalogue de quelque 2 000 estampes de URDLA.
À l’occasion de la parution de « Comme deux gouttes d’or », dans la collection Livres de peintres,
dessins et lithographies de Jean-Claude Silbermann accompagnant des poèmes de Christian Bernard,
la Galerie Michel Descours et URDLA ont décidé de renouveler leurs expositions communes en présentant les soixante dessins à l’encre de Jean-Claude Silbermann qui servent d’appui à la conversation du peintre et du poète.
Exposition à télécharger
Film – images – musiques
Valentin Defaux vient prendre racine sur le plateau de l’habitacle de Super F-97, qu’il transforme en diorama où demeurent des formes imprécises, qui semblent issues de la structure même du véhicule.
Impressions des étudiants de la classe préparatoire, Lycée Lumière de Lyon sous la direction de Jérémy Liron
Vernissage samedi 14 décembre à 14 heures 30
Exposition du 14 au 24 décembre 2019
14. IX. 19 > 30. XI. 19
Vernissage le samedi 14 septembre,
de 14 heures 30 à 18 heures 30
Super F-97 Super F-97 est un projet artistique piloté par Laura Ben Haïba et Rémi De Chiara, né de l’obsolescence, de la désuétude et de la décrépitude de leur automobile déclassée, puis surclassée. Il y a une dizaine d’années, Rémi reçoit une Ford Escort 1.6L 16V de 1997 en héritage. En 2019, l’ancienne automobile en […]
Dès sa prime origine – aux alentours du milieu du XVe siècle – les images imprimées parcourent l’Europe dans les malles-boutiques des colporteurs. De villages en villes ils vendent pour rien des représentations du Christ, de la Vierge, des saints mais aussi des images légères. Le poster accroché au mur n’est pas une invention moderne !
Guillaume Constantin a initié en 2014 Géographies sentimentales, une série de répliques de cartes du XVIIe siècle, dont la « Carte de Tendre », initiée par les Précieuses, serait la représentante la plus identifiée du genre.
Super F-97, c’est une Ford Escort 1.6 L 16 V de 1997 qu’hérite Rémi De Chiara. En 2019, après son échec au contrôle technique, l’auto qui perd son droit à la mobilité est transformée par Laura Ben Haïba et Rémi De Chiara.
L’exposition, conçue en partenariat avec la Galerie Michel Descours, se décline en deux volets à URDLA et à la galerie, en presqu’île de Lyon.
Présentation des travaux des étudiants de la classe préparatoire arts plastiques, Lycée Lumière
Aujourd’hui, Rainier Lericolais enregistre le mouvement d’une toupie et s’oriente vers des modalités qui l’empêchent de prévoir le résultat.
En parallèle de l’exposition qui marquent ses 40 ans (Rainier Lericolais, Plunder), l’URDLA s’associe de nouveau à Collection à l’étude, parcours d’art contemporain à Villeurbanne organisée par l’IAC qui fête aussi son quarantième anniversaire
Comme tout domaine inséré dans la production industrielle – issus de conditions matérielles spécifiques. De même que, lorsque nous entendons un texte oral, nous revenons à la voix et à la prononciation, il s’agit ici de revenir aux éléments qui déterminent et orientent l’écrit sous nos yeux. Comment penser, en d’autres termes, ce qui sous-tend la présentation d’un signe sur une page ?
Est l’invitation à une balade dans les paysages révélés par la subjectivité de chacun ; une invitation à cheminer entre texte et image, entre la lettre et le trait
Six cents mois avant le 24 mai 2018, les violents affrontements du vendredi 24 mai 1968, marque à Lyon par la mort du commissaire Lacroix, ouvrent vers un retournement de la population française en faveur du gouvernement.
« Je voudrais que mes livres soient des sortes de bistouris,
de cocktails Molotov ou de galeries de mine,
et qu’ils se carbonisent après usage à la manière des feux d’artifice. »
Michel Foucault, « Sur la sellette » (entretien avec J.-L. Ezine), 1975.
Cette exposition est la première qui s’inscrit dans le cadre de la célébration des 40 ans de l’URDLA, fondée en 1978 par Max Schœndorff.
La pratique de Rob Mazurek joue de la combinaison mouvante du son et de l’image créant ainsi des composites audio-visuels. Les expériences visuelles et auditives s’échangent l’une l’autre, s’influençant mutuellement. Les couleurs, projetées en vidéo ou peintes sur toile, servent fréquemment de point de départ aux improvisations musicales. À l’opposé un son audible fait clignoter […]
En commun avec le Centre d’art contemporain de Lacoux, l’URDLA présente une exposition consacrée auxfondateurs du centre du plateau du Haut- Bugey : Cécile Reims et Fred Deux
Le titre de cette exposition est à prendre au sens propre : cette exposition a une fonction nettement pédagogique puisqu’elle présente un état de la création contemporaine autour de la gravure en creux.
L’exposition s’inscrit dans Collection à l’étude à Villeurbanne, déploiement biennal de la collection de l’IAC (Institut d’art contemporain) dans les équipements culturels de Villeurbanne. Après une première résidence à l’URDLA en 2013, durant laquelle furent imprimées trois pointes sèches et eaux-fortes, Mengzhi Zheng est de nouveau invité à réaliser des estampes. Ces bois gravés sont […]
Après deux résidences de travail en 1998 et 2000, Karen Serra est revenue à l’URDLA au cours de l’été afin de produire de nouvelles estampes
DOPPELGÄNGER… Le titre polysémique à la sonorité inattendue, qui laisse entendre le double sans le dire, dévoile le propos de l’exposition que l’URDLA consacre à Alex Chevalier et à Guillaume Perez à l’automne 2016. Nés respectivement en 1989 et 1979, et vivant à Clermont-Ferrand et à Lyon, les deux artistes ont déjà collaboré lors de […]
Par où commencer ces Histoires de faire confiance aux images ? Peut-être par une histoire Il était une fois, plutôt il est une fois, enfin six fois, un projet d’exposition où il est question de faire six images. Six images imaginées puis dessinées sur des pierres ou gravées sur des plaques de cuivre et qui […]
À L’URDLA seront présentées trois gravures de Manuel Ocampo, en relation avec le texte « Bodegon » de Jean-Luc Nancy, extrait de Natures mortes, paru dans la collection « Livres de peintres », en 2006, accompagné de linogravures de François Martin
Lieu de création & de diffusion, l’URDLA se voue aussi à la transmission et à la formation. C’est dans ce contexte que, outre l’accueil d’étudiants en stage, l’association développe des partenariats avec les écoles d’art (Bourges, Saint-Étienne…) pour la mise en œuvre de workshops
Un motif ou thème, récurrent depuis les années 1950, se développe dans chacune des expositions lyonnaises ; la nature (CAP, Saint-Fons) et le corps (Galerie Domi Nostrae, Lyon) sont les deux principaux thèmes où celui du toucher se trouve décliné et accentué par une édition (Atelier Urdla, Villeurbanne)
Exposition à la Bibliothèque municipale de Lyon.
Peintres et Vilains de Maurice Pianzola que Max Schoendorff, fondateur de l’URDLA, citait régulièrement comme appui et modèle à une pratique particulière de l’art imprimé est publié en 1962.
L’année 2016 s’ouvre à l’URDLA avec la possibilité offerte au public d’accéder à ce qui habituellement est réservé to the happy few. Cette fenêtre ouverte sur le quotidien du travail d’un atelier dévoile les étapes de l’impression en couleurs. Pour cette édition, deux techniques : la taille d’épargne (linogravure) et la lithographie.
Que la langue se fasse l’outil qui révèle les secrets glissés à l’oreille du chat, ou qu’ayant mangé la nôtre, fort du savoir du monde, après avoir posé la question, il donne la réponse qui manque : c’est de ce qui échappe que l’animal se fait le portevoix. S’en remettre à un autre pour entendre […]
Documents 1929-2015 inaugure l’invitation à des commissaires extérieurs d’élaborer une exposition pour l’URDLA. Au début de l’été 2014 la proposition fut faite à Léa Bismuth qui avait déjà marqué tout son intérêt et son soutien à notre travail.
La présentation d’une année de résidence à l’URDLA offre à l’appréciation du public les résultats de la manière dont chaque artiste s’est emparé, avec son langage propre, des techniques de l’estampe. Ce récolement d’une année de production (en sont exclues les pièces présentées dans les deux expositions monographiques) manifeste une pratique de l’estampe qui n’est […]
L’exposition monographique que l’URDLA consacre au couple d’artistes Florentine & Alexandre Lamarche-Ovize rassemble des pièces uniques (sculptures, dessins, installations) et des estampes éditées par les ateliers de la rue Francis-de-Pressensé
Dans une exposition-installation, Frédéric Cordier (né en 1985 au Canada) et Daniel Aulagnier (né en 1943 à Firminy) interrogeront les points de connivence et les écarts de leur pratique.
La saison 2013-2014 s’ouvre sous les auspices de Virginia Woolf dans la parution de ENFIN, textes Virginia Woolf, traduction et préface Jacques Aubert, lithographies Myriam Mechita. Les plus attentifs des urdléens auront noté que les ouvrages de bibliophilie sortaient avec moins d’entrain après le succès de l’exposition Poësimage (2001). Résultat de la rencontre entre un […]
Patrice Vermeille, artiste-explorateur, est en constante recherche, en mouvement incessant ; il « a choisi de se situer, lui et sa peinture, dit José Pierre dans son Introduction à la peinture, en un point d’où les diverses conquêtes de la peinture moderne depuis le néo-classicisme jusqu’au suprématisme cesseraient d’être considérées comme antagonistes.
Le moment revient, comme chaque année à la fin de l’automne, d’assembler en bouquet le travail d’une saison et de le proposer à l’appréciation des amateurs.
Ces paysages bouleversés par l’implosion des couleurs, ces indices tapis dans l’ombre et ces symboles disséminés dans l’air – tel l’oiseau sur la branche -, ces maisons à l’architecture souvent fragile sur un sol qui lui-même semble vouloir se dérober, ce que je vois lorsque je suis devant