Bon Cadeau

Mon panier

Votre panier est vide

array(29) {
  ["lastname"]=>
  NULL
  ["firstname"]=>
  NULL
  ["email"]=>
  NULL
  ["last_passwd_gen"]=>
  NULL
  ["birthday"]=>
  NULL
  ["newsletter"]=>
  NULL
  ["newsletter_date_add"]=>
  NULL
  ["ip_registration_newsletter"]=>
  NULL
  ["optin"]=>
  NULL
  ["website"]=>
  NULL
  ["company"]=>
  NULL
  ["siret"]=>
  NULL
  ["ape"]=>
  NULL
  ["outstanding_allow_amount"]=>
  int(0)
  ["max_payment_days"]=>
  int(0)
  ["note"]=>
  NULL
  ["is_guest"]=>
  int(0)
  ["id_shop"]=>
  NULL
  ["id_shop_group"]=>
  NULL
  ["id_default_group"]=>
  int(1)
  ["date_add"]=>
  NULL
  ["date_upd"]=>
  NULL
  ["reset_password_token"]=>
  NULL
  ["reset_password_validity"]=>
  NULL
  ["id"]=>
  NULL
  ["is_logged"]=>
  bool(false)
  ["gender"]=>
  array(3) {
    ["type"]=>
    NULL
    ["name"]=>
    NULL
    ["id"]=>
    NULL
  }
  ["risk"]=>
  array(4) {
    ["name"]=>
    NULL
    ["color"]=>
    NULL
    ["percent"]=>
    NULL
    ["id"]=>
    NULL
  }
  ["addresses"]=>
  array(0) {
  }
}

Connectez-vous

Créez un compte

ref. 8566
  • Technique : Lithographie
  • Dimensions : 120 x 80 cm
  • Tirages : 40 exemplaires, numérotés et signés
  • Papier : Creysses
  • Année : 1985
  • Documents : Facture et certificat d’authenticité
Oeuvre non disponible

cadre non fourni

Mario Merz

Mario Merz est un artiste contemporain italien associé au courant de l'Arte Povera, né en 1925 et mort en 2003.

À l’été 1985 Le Nouveau Musée de Villeurbanne présente la collection du Van Abbe Museum de Eindhoven, illustrée par une sélection d’une trentaine de pièces d’artistes sélectionnés dans la partie contemporaine. C’est vraisemblablement à cette occasion, au mois de juin, que Merz rencontre Max Schoendorff et se laisse convaincre de s’essayer à la lithographie.

Nous reste l’anecdote, maintes fois racontée par Max : Mario et Marisa arrivent un matin dans le petit atelier du boulevard Stalingrad. Le visage chafouin, l’Italien visite l’atelier, regarde les presses, s’intéresse aux pierres tout en plongeant sa main dans un sac en papier d’où il tire des pêches juteuses qu’il croque. Il disparaît dans le parc de la Tête-d’Or voisin, abandonnant Max et l’équipe d’imprimeurs interloqués. 

Quelques heures plus tard, il réapparaît, son sac rempli d’écorces d’arbres ramassées dans sa promenade, qu’il trempe dans l’encre à dessiner avant de les tamponner sur deux pierres. Il saisit la craie litho, dessine sur l’une un arbre anthropomorphe, sur la seconde apparaissent des cônes évoquant le panier d’osier de la Tate Galerie. La suite de Fibonnacci s’écrit jusqu’au 55 sur l’une, jusqu’au 233 sur l’autre. 

Dans ce qui prend la structure du Witz, l’URDLA se trouve éditrice de deux lithographies grand aigle qui ont rejoint de prestigieuses collections publiques et privées, notamment lors de Art Basel 86.

Cyrille Noirjean

Retour vers le haut