Il s’inspire parfois de photographies dont il modifie le rapport à l’échelle, ou revisite le genre du portrait en invitant ses proches à poser pour lui. Il s’applique alors à saisir les traits de leur visage, mais s’attarde à retranscrire les expressions et l’autorité qui s’en dégagent. Le résultat s’offre au spectateur avec une frontalité saisissante, mais les visages de Jérôme Zonder, eux, sont insaisissables.