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Calvaire

Stéphane Braconnier
ref. 8801
  • Technique : Lithographie
  • Dimensions : 56 x 76 cm
  • Tirages : 10 exemplaires, numérotés et signés
  • Papier : vélin d'Arches
  • Année : 1988
  • Documents : Facture et certificat d’authenticité

valeur : 250.– €

Expédition dans la semaine

cadre non fourni

Stéphane Braconnier

Aventurier de la peinture,  auquel sut ouvrir ses portes dès 1984 la galerie Verrière (avant, parmi d’autres, la galerie Lucien Durand à Paris, la galerie Houg à Lyon, le musée Paul Dini et l’URDLA), peintre abstrait pourtant rebelle aux classifications,  le bien-nommé braconnier  (jeu de mots de Jérôme Sans) renouvelle inlassablement formes, matières et manières. 

De la photographie, il offre à la peinture « pure » les noirs profonds. Puis, il fait sans retenue exploser en feu d’artifice polychrome et géométrique les couleurs primaires.

Du format rectangulaire aux carrés modernistes,  puis des carrés, en 1991, après son voyage à New York, aux « tondi ». Nulle mollesse, nul abandon, nulle morbidezza cependant dans cette rondeur, mais une ascèse, une clôture, un refus de s’épancher. Puis viennent les grands diptyques de la série « Liaisons », accolant deux couleurs complémentaires, palimpsestes d’autres figures géométriques.

Gourmand  de la diversité des substances, Stéphane Braconnier explore une large gamme de supports et de matériaux avant de privilégier la subtile alchimie de l’huile et de la cire. C’est ainsi qu’il produit des effets de transparence piégeant et faisant triompher la lumière.

Nous en parlions au présent, mais nous devrons parler maintenant au passé de ce peintre dont l’URDLA a accueilli les vastes estampes, ce peintre qui « aimait la peinture, les femmes, le vin, la fête, les chevaux » (selon Stani Chaine dans Lyon-Capitale du 15 juillet), a été retrouvé mort  d’une crise cardiaque le 6 juillet 2015 dans son atelier.

Odile Schoendorff

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