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Causeries, rencontres entre art et psychanalyse

SAMEDI 27 AVRIL 2024, DE 10 HEURES À 13 HEURES

Causeries Emma Ben Aziza, Robinson Haas avec Annie Delannoy et Cyrille Noirjean

URDLA accueille la troisième séance de ce cycle qui constitue un espace de recherche qui réunit différents champs du savoir : psychanalyse, art, cinéma, philosophie et critique. Les rencontres auront une portée internationale tant par les artistes invités que par les rencontres qui se dérouleront à Paris, à Lyon et à Rome, en impliquant également Berlin, Milan et Naples. Se poursuit un espace de recherche inauguré en 2023, qui relie différents groupes psychanalytiques, des artistes, des lieux d’arts…

Chaque rencontre sera bilingue (italien et français), en présence et par zoom.

Comment l’art et la psychanalyse se rencontrent-ils alors ? Dans son Hommage fait à Marguerite Duras, Lacan avance que l’artiste toujours précède l’analyste.  Et qu’apprend-il ? Massimo Recalcati répond que la psychanalyse ne peut pas regarder l’œuvre d’art comme s’il s’agissait d’un rêve ou d’un symptôme à interpréter, d’une pathologie à signaler ; ce qui intéresse le psychanalyste, c’est « comment une pratique symbolique peut isoler le réel, c’est-à-dire ce qui, tout en appartenant au champ symbolique, est en excès par rapport à lui » (in Le miracle de la forme). Pour des artistes comme Burri ou Tàpies, explique-t-il, la question n’est jamais « qu’est-ce que cela veut dire ? » car, comme le dit Burri lui-même, l’inconscient de l’œuvre consiste dans la « présence irréductible » de l’œuvre elle-même, donc dans un réel qui échappe au jeu herméneutique du sens et au déchiffrement symbolique d’un contenu latent.

Emma Ben Aziza

Née en 1997, à Clermont-Ferrand et diplômée de l’École des Beaux-Arts de Nantes en 2022. Emma Ben Aziza vit à Valence et et travaille entre Lyon, Paris et Tunis.

L’intérêt particulier d’Emma Ben Aziza pour les « petites » histoires qui forgent le grand récit se nourrit et se révèle à travers ses recherches sensibles de mémoires de vie, d’images empruntées, qu’elle recueille puis raconte. Vraies et fausses archives s’entremêlent et donnent sens à un ensemble narratif fait de chapitres consacrés aux liens existants entre botanique et histoire des diasporas. Une analogie puissante entre deux témoins de phénomènes de dissémination et de survivance qui nourrit un récit nécessaire pour Emma Ben Aziza : « l’articulation entre mémoire collective et singulière, entre botanique et histoire amène à de nombreuses interrogations. L’analogie végétale est puissante, elle nous relie à un monde duquel nous nous coupons, celui du vivant. C’est en regardant la vie dans tout son processus que nous comprenons où nous sommes. »

 

Robinson Haas

Né en 1995 à Lille, Robinson Haas vit et travaille à Lyon. Diplômé de l’École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris, il a d’ores et déjà bénéficié d’expositions à Lyon, Paris et Genève et de plusieurs résidences dont « Création en cours » avec les Ateliers Médicis.

Robinson Haas développe une pratique du dessin autour de la ligne qu’il répète à l’infini, à travers des protocole émis en amont. À priori simples et banals, ils génèrent des paysages emprunts de la fragilité de chaque geste. Il s’intéresse ainsi aux questions de sérialité, de reproduction d’un geste, à la friction entre mécanique et sensible ainsi qu’aux possibilités d’expression plastique d’une forme primaire.

Samedi 27 avril 2024

URDLA

Emma Ben Aziza
Robinson Haas

inscription obligatoire
nombre de places limité

Réservations (à URDLA) Réservations (visioconférence) Programme
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