« l’articulation entre mémoire collective et singulière, entre botanique et histoire amène à de nombreuses interrogations. L’analogie végétale est puissante, elle nous relie à un monde duquel nous nous coupons, celui du vivant. C’est en regardant la vie dans tout son processus que nous comprenons où nous sommes. » Une mise en récit d’autant plus intime pour l’artiste née en 1997 à Clermont-Ferrand et diplômée de l’École des Beaux-Arts de Nantes en 2022, qui a été marquée « par des allers-retours personnels entre la Tunisie et la France, donc propre à un vécu diasporique. »