1989, Bandar Abbas, Iran
Samaneh Atef est présentée et repérée par la scène de l’art brut : son parcours l’y inscrit. Que faire quand l’art brut est invité dans un lieu d’art estampillé contemporain comme URDLA ? Qu’en dire en évitant les travers ci-dessus esquissés ? Peut-être relire le catalogue des éditions avec pour fil : quelles œuvres, quels artistes relèveraient de l’art brut ? Le seul critère du langage plastique y suffira-t-il ?
Son advenue au dessin n’est pas linéaire, elle s’appuie sur différents moments de crise. Dessinant depuis son enfance, ses études l’amènent à devenir ingénieure informatique.
[Lire « Samaneh Atef, art Brut ? » par C. Noirjean]