Qu’il s’agisse de ses lithographies sur rhodoïd ou de ses pièces imprimées sur des peaux d’acrylique, chaque œuvre tente de capturer un équilibre fragile, un mouvement suspendu, articulés à sa pratique de la danse. Le rythme utilise, dans les premières œuvres, des décalages et des superpositions, tandis que les secondes explorent l’élasticité et la fragilité de la peinture séchée. Ce travail inédit incite Lys Galatea à poursuivre son usage de la matière par le réemploi et la réutilisation circulaire des mêmes matériaux, tout en renouvelant le langage de l’estampe.