Veuillez nous excuser pour le désagrément.
1922, Grenoble, France
Il peint lyonnais comme on parle une langue maternelle, naturelle faudrait-il dire. Étale les nuances de la ville sur une toile à peine claire, tout juste obscure : une surface à la fois oublieuse et rêveuse. Aurait-il vu ces « invisibles horizons de lumière » qu’évoque Jean Reverzy dans Place des Angoisses (Bellecour, pour ne pas la nommer) ?
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