Cela m’a permis alors de l’escorter et même de le suivre, en qualité de critique, dans quelques-unes de ses expositions, en France comme à l’étranger. C’est en effet sans heurt, en douceur même, en tout cas en pleine connivence, que nous avons pu nous rencontrer sur un territoire d’affinité élective, qui a trait à une commune vision du monde (pour dire vite), laquelle, pour être dénuée de toute nostalgie, n’en figure pas moins pour nous sous le signe d’une espérance à rafraîchir sans cesse, à l’exact opposé du travail de deuil, dont de toutes parts on nous rebat si fort les oreilles que c’en est écœurant.
Jean-Pierre Léonardini